CLAIR D’HORLOGE F. García Lorca
de
“Premières chansons”
Je
m’assis
dans une clairière du temps.
C’était
un havre
de silence,
d’un blanc
silence,
formidable arène
où les
étoiles
affrontaient les douze, oscillants,
chiffres noirs.
(Trad:
Colo)
Montage créé par Kwarkito pour ce poème, pour nous.
Un tout grand merci amigo.
CLARO DEL RELOJ (Primeras Canciones, 1922)
Me
senté
en un claro del tiempo.
Era un remanso
de
silencio,
de un blanco silencio,
anillo formidable
donde
los luceros
chocaban con los doce flotantes
números
negros.
F. García Lorca