Photo Colo, Nord de Mallorca |
Le mur
il ne sait rien de la mer
La mer
elle ne sait rien du mur
Entre eux
le va-et-vient du vent
il ne sait rien de la mer
La mer
elle ne sait rien du mur
Entre eux
le va-et-vient du vent
La pared
no sabe nada del mar
El mar
no sabe nada de la pared
Entre ellos
el vaivén del viento
(Trad, Colo)
no sabe nada del mar
El mar
no sabe nada de la pared
Entre ellos
el vaivén del viento
(Trad, Colo)
extrait de Komboloï, Werner Lambersy
(Billet en partie repris d'un précédent, il y a des lunes..)
oh! joli!
RépondreSupprimeret belle photo!
(et nous, que savons-nous, du mur et de la mer...)
Merci et oui la question va dans tous les sens!
SupprimerEt pourtant ils sont là tous les deux .. le vent le sait lui. Très belle photo, qui me change agréablement de la grisaille qui règne chez moi. Bon week-end Colo.
RépondreSupprimerLe grand savoir du vent...bonne journée Aifelle.
Supprimervoilà qui est bien joli, un peu comme un haiku :)
RépondreSupprimerC'est ça, oui:-)
SupprimerBon weeke-end Niki
j'aime beaucoup ce poète dont je possède un livre depuis des années et qui ne s'est jamais épuisé
RépondreSupprimerje trouve des parentés avec Beckett; le zen, Zuang Zi bref que des choses que j'aime
Moi aussi, je devrais traduire plus de poèmes de lui! Sais-tu qu'il est né dans la même ville que moi, Anvers?
SupprimerUn poète des silences, de l'imperceptible. J'aime beaucoup. Merci, Colo.
RépondreSupprimerJe me demandais s'il était très connu en Belgique, je veux dire lu et cité.
SupprimerVoici ce qu'on dit de lui dans les archives du Carnet : https://le-carnet-et-les-instants.net/tag/werner-lambersy/
SupprimerMerci beaucoup Tania!
SupprimerC'est bref, mais parlant! Bisous
RépondreSupprimerBon dimanche Val
SupprimerFinesse et simplicité dans ce poème qui parle de l'incommunicabilité et de notre ignorance des choses. Et pourtant le vent est un lien. Qui sait s'il ne parviendra pas à briser le silence ?
RépondreSupprimerQuant à moi, je te souhaite une bonne année et de belles découvertes poétiques.
Merci beaucoup, puisse le vent distribuer poèmes, livres, baisers durant l'année!
SupprimerAlors soyons tous des souffles de vent pour communiquer entre nous
RépondreSupprimerOh oui, tout à fait d'accord!
SupprimerEn un souffle, le message du vent...
RépondreSupprimer...je l'entends.
SupprimerUne petite constatation qui n'a l'air de rien et pourtant...
RépondreSupprimerBonne année!
Excellente année à toi aussi, je charge le vent de te porter ce message.
SupprimerSplendide Colo ce presque haïku ! Tout est dit !
RépondreSupprimerTu nous gâtes en ce début d'année que je te souhaite d'une grande douceur.Bises.Claudie.
Contente de t'avoir fait plaisir Claudie! Bon début d'année.
SupprimerSimple et beau, tout simplement, et la photo... merveilleuse ! Bises ensoleillées. brigitte
RépondreSupprimerMerci Brigitte, bonne journée,un beso.
SupprimerMais le vent est bavard et saura combler les vides...
RépondreSupprimerBelle année pleine de poésie encore et toujours !
Je crois que tu as raison, il sera le messager ce bavard!
SupprimerBon mois de janvier, les premières fleurs d'amandiers incitent à la poésie.
Tu montes sur le mur et tu peux voir la mer. Entente cordiale entre les éléments.
RépondreSupprimerC'est une possibilité, nos corps comme intermédiaires.
SupprimerMerci Colo pour tes belles pépites.
RépondreSupprimerBon vent à toi pour la nouvelle année.
Amitiés insulaires :-)
Merci beaucoup Paul(a)
SupprimerLes vents insulaire tournent facilement, nous décoiffent dans tous les sens et envoient des semences poétiques de par le monde. Elles t'arriveront sans peine cette année aussi.
Amicalement.
Très bel extrait.
RépondreSupprimerL'idée du vent messager et lien obligé me plaît assez.
Merci.
Et encore Belle année 2020.
Je t'embrasse.
Merci ma chère amie, bonne année bien sûr à ta famille agrandie!
SupprimerJe t'embrasse
Le mur peut faire barrage au vent. Ici on parle de choses devenues des êtres, cela me parle aussi. Merci beaucoup.
RépondreSupprimerJe retiens la formule: choses devenues êtres. Merci, merci
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