Après un mois d'août torride, voici ce matin nuages et fraîcheur, peut-être même
quelques gouttes de pluie, on ne peut rêver mieux.
Voici une photo du sommet du Galatzo, la montagne derrière chez nous.
Después de un mes de agosto abrasador, he aquí esta mañana nubes y frescor, tal vez
unas gotas de lluvia, no se puede soñar nada mejor.
Aquí una foto de la cima del Galatzo, la montaña detrás de nuestra casa.
La
femme et le paysage Stefan Zweig
“Jusqu'au
plus loin qu'atteignait ma vue je trouvais la même attente qu'il y
avait en moi, des fissures s'étaient ouvertes dans la terre qui
maintenant s'élargissaient comme de petites bouches assoiffées;
pore à pore elles s'ouvraient et répandaient, cherchant de la
fraîcheur, le plaisir froid, bouleversant de la pluie, et moi je
sentais quelque chose de pareil dans mon propre corps.
Sans que j'en
sois consciente, mes doigts se crispèrent comme si je pouvais saisir
les nuages et les entraîner d'un coup vers un monde évanoui...” (Trad.Colo)
La
mujer y el paisaje Stefan Zweig
«Hasta
donde alcanzaba la vista encontraba la misma expectación que había
en mí, se habían abierto grietas en la tierra que ahora se
ensanchaban como si fueran pequeñas bocas sedientas; poro a poro se
abrían y se expandían buscando frescor, el placer frío,
estremecedor de la lluvia, y yo experimentaba algo semejante en mi
propio cuerpo.
Sin que fuera consciente de ello, mis dedos se
crisparon como si pudieran agarrar las nubes y arrastrarlas de una
vez hasta este mundo desfallecido...»