Jorge
Boccanera, né en Argentine en 1952.
Poète
et journaliste.
Par
petites touches, je vous propose de découvrir sa poésie.
Voyons si la première, qui amène le sourire, vous plait.
A modo de
pinceladas, os propongo decubrir su poesía.
La de hoy
me hizo sonreír.
Juan Gelman (à gauche) et son ami Jorge Boccanera |
Hasard
n'est pas jeter une pièce en l'air.
Ni
même attendre le pile ou face...
Hasard
est attraper la pièce en l'air
et
fuir sans laisser de trace.
(Trad:
Colo)
Azar
no es arrojar una moneda al aire.
Ni siquiera esperar el cara o cruz...
Azar es atrapar la moneda en el aire
y huir sin dejar rastro.
Ni siquiera esperar el cara o cruz...
Azar es atrapar la moneda en el aire
y huir sin dejar rastro.
Que de belles découvertes chez toi !!! Des poètes mais qui sont tous plus ou moins bien philosophes...
RépondreSupprimerBonjour Martine, contente de te revoir sur les blogs.
SupprimerSouvent je découvre avec vous tu sais...
donc il n'y a pas de hasard ;-)
RépondreSupprimertu nous déniches sans cesse de nouveaux poètes (nouveaux pour moi, je veux dire) et il me faudrait un second blog pour tous les poèmes que je voudrais traduire (une seconde vie aussi, en fait ;-))
C'est ça!;-)
SupprimerDe fait je suis les amitiés de l'un ou l'autre et découvre des talents.
Te souhaiter 7 vies?
Bonne journée Adrienne.
c'est tout à fait charmant :-)
RépondreSupprimerOui, oui!
SupprimerIl a l'esprit joueur le poète ! Je ne demande qu'à en découvrir davantage. Bonne journée Colo.
RépondreSupprimerLéger et profond, bientôt le suivant, je traduis...
SupprimerBonne journée Aifele, un beso.
j'aime bien le côté réjouissant de ce poème ni vu ni connu
RépondreSupprimerComme un tour de passe passe, oui, oui!
SupprimerOh oui Colo! J'aime beaucoup, c'est joli et je souris :-)
RépondreSupprimerMerci pour ce doux moment.
Bisous
Oh avec grand plaisir Denise, sourions!
Supprimerbesos
"el cara o cruz" et puis plus de pièce - le hasard refuse de jouer ?
RépondreSupprimerC'est toujours un plaisir de découvrir ainsi des poètes par petites touches, à ta manière. Bonne soirée, dame Colo, sourions !
Le comble du hasard!
SupprimerBonne soirée la belle.
Un petit côté jeu de mots/ jeu de hasard et disparition comme un feu-follet: ça me plaît!
RépondreSupprimerJe t'embrasse.
C'est ça, oui.
SupprimerBonne nuit, un beso.
Un côté malicieux hautement appréciable !
RépondreSupprimerHé, c'est facétieux! oui!
RépondreSupprimerBonne semaine Anne, et encore merci pour ce superbe David!
SupprimerJe fais un lien entre ce texte et le récit de ton billet suivant ?
RépondreSupprimerAh c'est bien le même poète, il a fui son pays, mais il a laissé et laisse bien des traces! :-))
SupprimerTout est dit en deux lignes, j'aime beaucoup.
RépondreSupprimerAh mais qu'il est difficile pour moi ce matin de trouver des mots, allez,je prends avec moi les mots du poètes, ils feront les hasards de ma journée.
Merci Colette.
Bonne journée "au petit bonheur la chance" alors!
SupprimerPourquoi fuir ? Le poète aurait pu peut-être terminer par : "Et puis jouir sans laisser de traces"… pour indiquer la jouissance de la vie comme élément fondateur de celle-ci…
RépondreSupprimerBien sûr, mais je pense qu'en vivant dans une dictature, on a plus le réflexe de fuir que de jouir...hélas.
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