Ne
parlons pas du premier, mais de celui ou ceux (à mon âge on se
souvient de plus d'un) ratés.
Promesse de délice puis...
No hablemos del primero, sino del o de los (a mi edad hay más de uno) totalmente fallidos.
Promesa de delicia luego...
Promesse de délice puis...
No hablemos del primero, sino del o de los (a mi edad hay más de uno) totalmente fallidos.
Promesa de delicia luego...
Il
y a toujours un intrus
Claribel
Alegría (Nicaragua 1924- )
Un regard parfois
un geste engourdi
une phrase
une odeur
le baiser qui en nous unissant
nous sépare
Un regard parfois
un geste engourdi
une phrase
une odeur
le baiser qui en nous unissant
nous sépare
(Trad: Colo)
Détail du baiser de E. Munch |
Siempre
hay un intruso
Claribel
Alegría (Nicaragua 1924- )
Una mirada a veces
un gesto entorpecido
una frase
un olor
el beso que al unirnos
nos separa.
très justement dit en peu de mots :-)
RépondreSupprimerune invitation à ta traductrice néerlandophone attitrée :-)
À la lettre K du kus ou Z de zoen?
SupprimerJ'attends un peu donc!
voilà c'est fait!
Supprimerce sera au T comme traduction, pour le K j'ai déjà Kaas :-)
je surveillerai ça de près! ;-))
SupprimerBonsoir chère Colo, j'aime beaucoup ces quelques mots ainsi que la toile.
RépondreSupprimerJe te souhaite une douce soirée.
Bisous ♥
Merci et bonne journée Denise.
SupprimerOh que c'est joliment dit ! et très explicite. Et que j'aime les teintes de bleu du tableau.
RépondreSupprimerUne poétesse que je viens de découvrir et dont tu aimeras, j'en suis sûre, le prochain poème.
Supprimerah jolie découverte que cette gente dame
RépondreSupprimermais quelle maladroite quand même :-)
Hihhihihi!
SupprimerJe ne sais plus dans quel film c'était mais j'ai retenu cette phrase: dans l'amour il y a toujours un bras en trop;-))!
Déconvenue en quelque sorte... Ou comment le rêve se confronte parfois durement à la réalité.
RépondreSupprimerBelle fin de semaine et que nous réussissions nos prochains baisers !
Je me rappelle d'un baiser raté à cause...d'une pince à linge. Comme quoi!
SupprimerBon week-end de baisers réussis à toi aussi.
Un jour j'étais à la banque avec ma mère et nous avons rencontré un monsieur qui lui disait bonjour, très empressé. Quand il en est sorti elle était un peu embarrassée mais n'a pas pu résister, et elle m'a dit "il m'a embrassée quand nous étions jeunes et il bavait, c'était dégoûtant" :)
RépondreSupprimerSouvenir peu plaisant, en effet!
SupprimerOui parlons du premier; en ce qui me concerne il était magique!
RépondreSupprimerOui parlons du premier; en ce qui me concerne il était magique!
RépondreSupprimerMerci de le dire ici!
SupprimerEn écoutant Paganini, on ne peut que s'envoler dans un baiser ! (Il faut dire aussi que les rafales de vent aujourd'hui feraient voler même les baisers.)
RépondreSupprimerAh, oui, pas raté mais envolé...on reste quand même sur sa faim!
SupprimerAh les premiers... Comme on les regrette !
RépondreSupprimerPfff...oh que oui!
SupprimerSerait-ce le cinéma qui nous a obligé à l'espérer parfait, à le sublimer ? Dans les films d'avant , le baiser final était l'image du bonheur idéal.
RépondreSupprimerQui sait?
SupprimerTant "d'intrus" peuvent interrompre le baiser "parfait"...un éternuement, une porte qui claque, un fou rire!
Bon dimanche Christian. Nouvelle adresse?
Cela semble une facétie de Blogspot/Blogger. Je n'ai rien voulu changer à mon identité. Le lien mène au bon endroit, c'est toujours ça...
SupprimerJe me doute que le premier fut avec mon petit namoureux blondinet de la photo de classe, lorsque je portais, encore, des rubans dans les cheveux. De son baiser, pas de souvenir. Mais du premier, du vrai, oh que oui ! ;)
RépondreSupprimerJ'aime, avant tout, le baiser du bon jour et le baiser du au-revoir. Trop doux, trop tendre.
Je me doute que le premier fut avec mon petit namoureux blondinet de la photo de classe, lorsque je portais, encore, des rubans dans les cheveux. De son baiser, pas de souvenir. Mais du premier, du vrai, oh que oui ! ;)
RépondreSupprimerJ'aime, avant tout, le baiser du bon jour et le baiser du au-revoir. Trop doux, trop tendre.
Je me doute que le premier fut avec mon petit namoureux blondinet de la photo de classe, lorsque je portais, encore, des rubans dans les cheveux. De son baiser, pas de souvenir. Mais du premier, du vrai, oh que oui ! ;)
RépondreSupprimerJ'aime, avant tout, le baiser du bon jour et le baiser du au-revoir. Trop doux, trop tendre.
Merci Lou, de doux souvenirs.
SupprimerD'un côté, la soif d'un rapprochement parfait et de l'autre la réalité tissée de plein de petits imprévus, sans parler des préoccupations qui peuvent nous traverser l'esprit ... Je crois que nous les femmes sommes "douée" pour ça. Souvenir d'un soir où je pensais à un grain de beauté que je m'étais découvert dans le dos en essayant un vêtement dans une boutique. Mais pourquoi donc j'y repensais à ce moment-là avec insistance ?!
RépondreSupprimerEn effet! (ma pince à linge c'était le vent qui s'était levé et...ciel mon linge!!!)
SupprimerCeci n'arrive pas quand c'est le premier, passionné. Irrépétible, snif!
Bonsoir Colo
RépondreSupprimerLe premier baiser... Je préfère me souvenir de mes premiers baisers, réussis bien sûr! Un véritable enchantement!Ton billet a été l'occasion de chercher dans la mémoire, de remonter le temps.
Mais cette histoire d'odeur dont parle le poème serait rédhibitoire maintenant que je prends de l'âge et que mon odorat est hyper développé . 8-) Enfin je parle forcément au conditionnel car à notre âge (rire)...
J'ai lu ton billet et ton poème un brin amusée! Accompagnée de Munch: super! Quant aux commentaires, c'est passionnant.
Algunos besos.
Bonjour Maïté, comme toi ce court poème m'a plongée dans les "baisers de ma vie";-)
SupprimerÀ notre âge, oui,c'est une longue histoire; certains sont inoubliables...pour une raison ou une autre.
S'en amuser aussi, bien sûr, j'adore rire.
Je t'embrasse (de loin, pas d'odeurs!)
Ou même à cause d'une moustache, bien que ma belle-mère répétait qu' "Un baiser sans moustache est comme une soupe sans sel". La mode revient : http://www.lalibre.be/lifestyle/magazine/moustaches-par-ci-moustaches-par-la-533003303570d39d849e4a51
RépondreSupprimerBonne fin de journée, Colo.
Merci pour le lien, je dirai à señor Colo qu'il est...à la mode! hihi.
SupprimerCe petit piquant peut distraire, sans aucun doute, qui n'y est pas habituée..
Bonne soirée dame Tania
Délicieux ton billet, Colo ! :o))
RépondreSupprimerJe vais glisser dans le commentaire de Lily...
Hé, hé!
SupprimerBonne semaine Fifi.
Ok il fonctionne, je lis cela plus tard, une journée bien remplie nous attend et Pénélope attendra...
RépondreSupprimerOups.. Bon gré mal gré, je comprends que la Pénélope d'Alegria n'y est plus trop disposée ;-)
Bonne journée, bon week-end, Colette.