7 août 2014

Vie et lumière, Sorolla / Vida y luz, Sorolla


(Clic pour agrandir les photos)




 Joaquín Sorolla con su mujer y sus hijos, 1901. (Foto: Antonio García).
Cette photo a été prise par un des photographes valenciens les plus connus à l'époque, Antonio García (1863-1923), qui devint le beau-père de Sorolla.
Vous connaissez déjà le tableau qu'en a peint J. Sorolla.
Dans les archives du musée Sorolla se trouvent une trentaine de photos que le peintre a utilisées.


La familia, 1901. Joaquín Sorolla. Museo de la Ciudad, Ayuntamiento, Valencia.
Copyright © 2011 FUNDACIÓN ZULOAGA.

Esta fotografía fue tomada por uno de los fotógrafos más conocidos en la época, Antonio García (1863-1923), que más tarde se convirtió en el suegro de Sorolla. Ya conocéis el cuadro que pintó Sorolla. En los archivos del museo Sorolla se encuentran une trentena de fotos que el pintor utilizó.


Joaquín Sorolla et sa sœur perdirent leurs parents quand le petit garçon n'avait que 2 ans et ils furent recueillis par la sœur de leur mère et son mari. Ce dernier était serrurier et c'est en vain qu'il essaya quelques années plus tard d'enseigner la technique des clés et serrures à Joaquín: le garçon avait décidé que sa vocation était la peinture.
Joaquín Sorolla y su hermana quedaron huérfanos cuando el pintor no tenia más que dos años y fueron recogidos por su tía materna y su marido. Este último era cerrajero y años más tarde trató, en vano, que Joaquín aprendiera la técnica de las llaves y las cerraduras: el chico había decidido que su vocación era la pintura.

Son oncle l'inscrivit dans une école d'Art puis à 15 ans dans l'Académie des Beaux-Arts mais il se trouva bientôt dans l'impossibilité de continuer à payer les études de son neveu.
Su tío le inscribió en una escuela de arte y a los 15 años en la Academia de Bellas Artes pero pronto se encontró ante la imposibilidad de pagar los estudios de su sobrino.
Que fit ce dernier? Il se mit à peindre et à essayer de vendre ses toiles. Un jour il vendit une nature morte à un antiquaire et un photographe, Antonio García, qui passait par là s'émerveilla de la technique du jeune garçon, s'intéressa à lui et le prit sous son aile. Une vraie aubaine qui changea toute sa vie!
A pesar de eso, Joaquín siguió pintando y trató de vender sus telas. Un día vendió una naturaleza muerta a un anticuario y un fotógrafo, Antonio García, se maravilló de la técnica del joven, se interesó por él y le tomó bajo su protección. ¡Una verdadera suerte que cambió su vida!


Marina 1880

Les soucis d'argent envolés, et Sorolla poursuivit ses études et entra comme apprenti dans l'atelier du photographe où il apprit la technique de la photographie (qui se devine dans sa peinture) et coloriait les photos (l'usage de la couleur n'était pas encore très répandu).
Desaparecidos los problemas de dinero, Sorolla continuó sus estudios y al mismo tiempo entra como aprendiz en el taller del fotógrafo donde aprendió la técnica fotográfica (lo que se adivina en su pintura) y coloreaba las fotos (el uso del color no era todavía muy frecuente).

Le photographe avait une fille....oui, Clotilde! Un amour durable s'installa entre les adolescents et “Clotilde fut tout pour Sorolla: son épouse, sa muse, son modèle préféré, la mère de ses trois enfants et même une comptable minutieuse (il l'appelait “mon ministre des finances”). Avec elle il trouva la paix et la stabilité que son esprit cherchait.”
El fotógrafo tenía una hija...¡Clotilde! Un amor duradero se instala entre los adolescentes y “ Clotilde lo fue todo para el pintor: su esposa, su musa, su modelo favorita, la madre de sus tres hijos y hasta su minuciosa contable (Sorolla le llamaba "mi ministro de hacienda"). Con ella encontró la paz y la estabilidad que su ánimo necesitaba”. 
Clotilde

Sa formation terminée, il se présenta, sans aucun succès, à différents concours, expositions: la peinture en vogue, officielle, était faite de scènes historiques et dramatiques. Puis, en 1881, il visita le Musée du Prado et fut fasciné par la peinture de Velázquez, du Greco et de Ribera. C'est son “étape réaliste”
Terminada su formación participó, sin éxito, a diferentes concursos y exposiciones. En 1881 visitó el Museo del Prado y quedó fascinado e influenciado por la pintura de Velázquez, El Greco y Ribera. Es su “época realista”

En 1883 et 1884 il obtient enfin des médailles, au niveau régional et national avec des peintures qui ne le comblent pas car, comme il le confia à un ami: “Ici, pour se faire connaître et gagner des médailles, il faut peindre des morts”.

En 1883 y 1884 obtiene, por fin, medallas a nivel regional y nacional con cuadros que no le satisfacen pues, como le dice a un amigo: “ Aquí para hacerse conocer y ganar medallas hay que pintar muertos”.


Defensa del Parque de Artillería de Monteleón

En 1885 il va à Paris et découvre les impressionnistes qui lui firent une immense ...impression, oui! À Rome, où il vécut plus d'un an avec sa femme, il connut John Singer Sargent, Giovanni Boldini y Anders Leonard Zorn.
En 1885 va a París y descubre los impresionistas que le causaron una enorme...¡impresión! En Roma, donde vivió más de un año con su mujer, conoció a John Singer Sargent, Giovanni Boldini y Anders Leonard Zorn.
Les Tableaux qui suivent font partie de la période qu'on appelle"Réalisme social", ce sont de loin ceux que je préfère.
Los cuadros siguientes forman parte del periodo llamado “Realismo social” que son mis preferidos.
Otra Margarita 1892

Las redes / Les filets 1892


Pelando patatas 1896

Toros en el mar 1903

Installé définitivement à Madrid, il fit encore un voyage en à Paris en 1894. Dès lors il adoptera le style appelé “Luministe” qu'il gardera jusqu'à sa mort inopinée, en 1923, alors qu'il peignait le “Portrait de la señora Pérez de Ayala” et qu'il souffrit d'une crise d'hémiplégie.

Señora Perez de Ayala, 1920

Instalado definitivamente en Madrid hizo un ultimo viaje a París en 1894 y adopta, desde entonces el estilo llamado “Luminista”. Muere repentinamente en 1923 de un ataque hemipléjico mientras pintaba el “Retrato de la señora Pérez de Ayala".


Ajout le 10 août. Lou revient de Madrid; au musée Sorolla elle est tombée en admiration devant " Traite des blanches". Je l'ajoute donc.

Trata de blancas 1894


36 commentaires:

  1. Merci de nous faire découvrir ce parcours de vie.
    J'aime particulièrement la démarche peinture d'après photographie avec une très belle interprétation du portrait de la famille. Cette démarche m'inspire. Moi aussi à mon humble niveau, je m'inspire de la photo pour y coller des mots, des ambiances et aussi pour le dessin auquel je m'initie tardivement.
    Toros en el mar 1903 est une peinture superbe où les reflets des vagues donnent aux personnages au-dessus une aura particulière.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Tes textes illustrent toujours finement tes photos, un vrai plaisir, Savarati.
      Quelle bonne idée de te diriger vers le dessin aussi, j'attends de voir le résultat avec impatience.
      Si tu vas sur google images, tu trouveras des dizaines de tableaux de lui...il fallait faire un choix, hélas.
      À bientôt chère Savarati.

      Supprimer
  2. Que ce parcours montre bien les hasards de la vie, des rencontres - la reconnaissance est si importante pour qu'un artiste persévère dans sa voie.
    J'aime beaucoup "Les filets", les ombres, les couleurs, la scène "au quotidien".
    Bonne soirée, Colo.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Tu as raison, on trouve dans la vie de tant d'artistes dont le nom est arrivé à nous qu'à un moment donné le coup de pouce de l'un ou l'autre a été décisif!
      TU aimeras beaucoup aussi je crois "Pescadoras" http://museosorolla.mcu.es/contenido/p_inv.1116.htm

      Un beso.

      Supprimer
  3. Je me glisse dans le commentaire de Tania. Je suis aussi particulièrement touchée par les portraits qu'il fait de sa famille, de sa femme,je trouve que celui que tu affiches en quatrième image est particulièrement beau !
    Je ne connaissais rien de ce peintre. Merci Colo pour cette belle découverte !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour Fifi, c'est la plaisir, l'intérêt des blogs-amis aussi, non?
      Comme je le disais dans un commentaire la semaine dernière, ce genre d'artiste n'entrant pas dans le circuit commercial il ne passe pas, ou à peine, les frontières...c'est triste à pleurer quand on pense qu'on trouve par exemple des fromages hollandais, du camembert....
      Bonne journée Fifi!

      Supprimer
  4. à la suite de ton billet précédent, j'étais allée explorer les liens que tu proposais et les tableaux de famille, les portraits de son épouse, m'avaient beaucoup touchée.
    mais aujourd'hui, ceux que tu appelles "réalisme social" me touchent peut-être encore plus...
    non seulement pour leur sujet, mais aussi pour leur facture
    merci Colo!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour Adrienne, dans cette série, sans doute moins "facile" ou populaire que celle des enfants et femmes sur la plage, il y a ce tableau-ci, les "Cordeliers" que je trouve superbe aussi http://galerias.artelista.com/galeria-lorenart/catalogo/los-cordeleros.html

      Bonne journée à toi!

      Supprimer
  5. J'aime vraiment beaucoup ce style. On sent bien l'influence de la photographie dans ses toiles. Et j'aime les scènes intimistes, comme Vuillard a pu en peindre.
    Bonne journée.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Vuillard, c'est vraiment la même époque Bonheur, mais j'ignore s'ils se sont connus.
      Cela me fait plaisir que cette peinture à laquelle je me suis tant attachée vous plaise.
      Excellente journée, au frais...ou dans l'eau!

      Supprimer
  6. Je comprends que ta période préférée soit celle du "réalise social" et comme Tania, c'est le tableau "les filets" qui se détache pour moi. Une vie avec ses aléas, ses bifurcations, ses bons et ses mauvais côtés .. au moins, il a réussi à faire ce qu'il voulait !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Mais oui, son obstination, son travail acharné et de la chance aussi qu'il a su saisir.
      Tiens je t'en envoie une autre que tu aimeras bien je crois le retour de pêche en bas http://www.shbarcelona.fr/blog/fr/expo-joaquin-sorolla-a-barcelone/

      Bonne journée à toi.

      Supprimer
  7. La première photo me fait penser à mes grands-parents.
    Les autres toiles sont très belles et j'aime particulièrement la dernière. Je ne connais pas ce peintre mais je découvre avec grand plaisir grâce à ton billet.
    Belle soirée, Colo

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Tu as raison, oui, ce sont les typiques photos d'époque, les robes et rubans, les barbes aussi, la composition.
      Bonne soirée à toi aussi Denise!

      Supprimer
  8. Quelle belle photo que Clotilde au milieu des fleurs.
    On retrouve le traitement des blancs dans Las redes et que j'aime sa lumière dansToros en el mar:Cette formation à la photo lui a ouvert sans contestation possible de nombreux horizons et lui a donné envie de s'ouvrir à diverses influences.
    Merci pour ce second article.
    besos.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Oui Maïté, d'après ce que j'ai lu, la photo est indissociable de sa vie de peintre et, quand on le sait, cela semble évident en admirant ses tableaux.
      Bonne journée chère amie, un beso.

      Supprimer
  9. C'est top, décidément j'aime tout chez le peintre ! Le regard de Clotilde parmi les fleurs est d'une grande profondeur, empreinte de mystère. Le portrait de famille d'après la photo initiale du beau-père apporte réellement un plus, il se donne la liberté d'expression que ne permet pas la photographie. D'abord il y a la couleur, ensuite il y a un clin d'œil au peintre len situation dans le tableau. La scène du garçon peignant sa petite sœur (je suppose) apporte une dynamique plus forte que dans la photographie car les regards du garçon et de la fille convergent vers le centre d'intérêt (la fillette). La période du réalisme social conduit à des œuvres abouties dont cette scène sublime des "Toros en el mar".

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est si gai de lire que tu es aussi enthousiaste que moi Serge!
      Plus j'examine ses tableaux plus je les trouve excellents. Merci pour ce "décryptage" du tableau de famille, il est vrai qu'il est, comme on dirait de nos jours, "interactif".
      Bonne semaine à toi.

      Supprimer
  10. Comme tu le précises, Colo, ce tableau m'a réellement impressionnée. Parce qu'il est traité avec des tons sombres, mais cependant il reste lumineux. Il se trouve près de la porte d'entrée, à hauteur du regard, il est de grandes dimensions comme la majorité des tableaux de Sorolla. On peut donc l'approcher et observer les détails, les coups de pinceau et le sens de leur application. J'ai conclu, en regardant ces mouvements, que sa peinture était nerveuse, rapide, précise souvent, même si de nombreux visages sont juste estompés. Dans les portraits de ses filles et de son fils, les détails des visages sont précis et non éludés.
    Il y a, sous vitrines, toutes une série de petits tableaux (15 x 20 env.) qui sont une collection d'études de sujets où l'on retrouve tous les thèmes qui seront repris en grandes dimensions. Sorolla savait, également, peindre, divinement et d'une façon légère, les jardins...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merci pour toutes ces précisions, ces détails Lou!
      (la photo du peintre de dos que tu m'as envoyée ne donnait pas grand chose sur le blog, je la garde précieusement pour moi!, Merci)
      Un beso.

      Supprimer
  11. Juste une petite absence et je retrouve votre blog avec toujours le même plaisir .
    Tous ces tableaux magnifiques qui respirent la vie! J'aime beaucoup les "toros en el mar" d'où se dégage une telle force "tranquille",avec cette lumière magnifique sur ces vaguelettes. Et puis bien sûr "las redes", une tranche de la vie de tous les jours pour cette famille de pêcheurs déjà un peu âgés.
    C'est un grand peintre que vous nous avez fait découvrir là et qui avait une très forte empathie pour ses concitoyens les plus pauvres et les plus exploités. Le dernier tableau est extraordinaire et très poignant.
    Très bonne semaine dame Colo et merci encore ainsi qu'à Lou.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ravie de vous retrouver Gérard, j'espère que vous avez fait le plein de vent et force. (lu chez Sable!)
      Force dont je vais avoir besoin, l'infâme comme je l'appelle, enfin le cancer, refait une percée...voyons si on peut le refaire disparaître...avec force! :-))
      Le dernier tableau est d'autant plus poignant que les pauvres jeunes filles dorment, surveillées par la dame âgée, bien éveillée, elle.
      Excellente semaine à vous cher Gérard.

      Supprimer
    2. J'aimerais tant vous aider à vaincre cet "infâme". Je ne peux qu'essayer de vous envoyer mes quelques nuages préférés, des cirrus qui sont chez nous signe de beau temps.
      Je vous envoie tout le stock que nous avons, tant pis, je garde nos éternels cumulus et même nos cumulonimbus qui nous tombent dessus régulièrement !
      Vous avez toute mon amitié.

      Supprimer
    3. Merci Gérard, je suis très touchée et je sais que vous êtes là, vous aussi.
      Le fait est que je me sens en pleine forme, mais...ah le sournois!
      Un peu de pluie ferait du bien ici: comme chaque août il fait humide et plus de 30 º. Si je vous envoyais quelques degrés en échange?
      merci de tout cœur, bien amicalement.

      Supprimer
  12. Clotilde est superbe mais je crois que je préfère cette femme au bord du gouffre, elle me fait penser à un tableau de Degas je crois La femme à l'absinthe !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Femmes, leurs destins et fortunes plus ou moins heureuses....

      Degas, oui, une grosse influence de tas de peintres chez Sorolla.
      Bonne semaine Dominique.

      Supprimer
  13. Se sont des peintures superbes et témoins de leur temps. J'admire ce talent, je ne connaissais pas cet artiste. Bonne semaine et merci pour la découverte. (Je suis passée par le blog du Bonheur du jour).

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour et bienvenue Elisabeth. Le blog de Bonheur du jour est un déliceiux endroit où se retrouver.

      Sorolla est (injustemen)t peu connu en France et ailleurs. Comme je le dis souvent en riant "le camembert passe plus facilement les frontières que l'art". Hélas!!!
      À bientôt.

      Supprimer
  14. Quel beau parcours de vie ! Des tableaux forts qui dépeignent les différents aspects de la vie, rude ou tendre, sombre ou lumineuse. Le portrait de Clotilde, les filets et les taureaux sont mes préférés. Bonne semaine, Colo.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Saisir sa chance au vol et la fille de son bienfaiteur au passage! ;-)
      Bonne semaine à toi aussi chère Danièle.

      Supprimer
  15. Je reviendrai ultérieurement commenter cet article.
    Hors-sujet, je vous informe que mon blog Marque-pages est actuellement inaccessible (depuis le vendredi 8 août) suite à un problème inconnu. Le staff de overblog ne réagit pas et semble en vacances. Je suis désolé et inquiet pour les 292 articles publiés. Je vous tiens informé(e).
    Bonne journée.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Oh là, là, quelle guigne!
      J'espère vraiment qu'Overblog réagira ...peut-être après le 15 août?¿?¿?¿, et que vous / nous retrouverons le tout!
      Bonne journée quand même, de tout coeur avec vous, ces problèmes sont très énervants, inquiétants, oui!

      Supprimer
  16. Je n'imaginais pas tout à fait que le peintre se soit inspiré de photos pour certaines toiles : Niépce est déjà loin derrière ! La réflexion qui me vient est que Sorolla s'est comporté comme on le fait souvent aujourd'hui en post-traitement photo, manipuler l'image (j'entends certains soit-disant puristes hurler) en plaçant des sujets autrement, en recomposant l'image.
    La vue de ces peintures me donne envie de visiter encore plus avant ce peintre riche, prolifique. C'ets trivial de le dire, peindre c'est jouer avec la lumière, Sorolla la sent, ne fait que s'en jouer. Du clair obscur au "luminisme" (il est un peu belge alors !), sa palette vole. Merci de l'avoir fait découvrir.

    NB: Marque-pages est revenu aussi librement qu'il était parti. En attendant la pub et peut-être de devoir migrer...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Tout comme la lumière qui va et vient, votre blog apparaît et disparaît selon les nuages?
      Excellente nouvelle que ce retour.
      Bon week-end.

      Supprimer
  17. Je découvre avec plaisir la vie et l'œuvre de ce peintre. Je suis intriguée par " Toros en el mar". Les taureaux étaient employés par les pêcheurs à cette époque ?
    Bonne semaine !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour Marcelle, bien contente de te le faire découvrir.
      Il y eut une époquee où, tout comme les chevaux belges employés pour la pêche à la crevette, les bœufs tiraient les filets. D'après ce que je sais, c'était plus spécialement dans l'ouest de l’Espagne et au Portugal...mais ce peintre était valencien, alors!
      Je t'envoie un peu de soleil pour ta semaine.

      Supprimer