À Ma..nao qui se reconnaîtront.
Cercle doré de Pierre Reverdy
Sous les oliviers
Il y avait trois femmes
Trois femmes riaient
L’air était trop calme
La première tendait son tablier
La deuxième tendait un panier
Et la troisième enfin
Dont le regard s’égare
Et dans le soleil
Qui les rendait belles
Alors qu’elles étaient
À peine jolies
Une pluie dorée
Tombait de la treille
Et l’air ne faisait
Toujours pas un pli
Dans les arbres verts
Chantaient les cigales
Cercle doré de Pierre Reverdy
Sous les oliviers
Il y avait trois femmes
Trois femmes riaient
L’air était trop calme
La première tendait son tablier
La deuxième tendait un panier
Et la troisième enfin
Dont le regard s’égare
Et dans le soleil
Qui les rendait belles
Alors qu’elles étaient
À peine jolies
Une pluie dorée
Tombait de la treille
Et l’air ne faisait
Toujours pas un pli
Dans les arbres verts
Chantaient les cigales
Et le marinier
Plus loin dans le port
La même chanson
Aux notes étales
Reprise au refrain
En carguant la voile
De plus en plus fort.
Círculo dorado
Bajo los olivos
Había tres mujeres
Tres mujeres reían
El aire estaba inmóvil
La primera tendía su mandil
La segunda tenía una cesta
Y la tercera en fin
Tenía la mirada perdida
Y bajo el sol
Que las hacia bellas
Cuando sólo eran
Apenas bonitas
Una lluvia dorada
De la parra caía
Y el aire seguía
Sin mover una brizna
En los árboles verdes
Las cigarras cantaban,
Como el marino
Allá en el puerto,
La misma canción
De notas calmadas
Formando un refrán
Que cargaba las velas
Con más y más fuerza.
(Traduction MAH y COLO)
Plus loin dans le port
La même chanson
Aux notes étales
Reprise au refrain
En carguant la voile
De plus en plus fort.
Círculo dorado
Bajo los olivos
Había tres mujeres
Tres mujeres reían
El aire estaba inmóvil
La primera tendía su mandil
La segunda tenía una cesta
Y la tercera en fin
Tenía la mirada perdida
Y bajo el sol
Que las hacia bellas
Cuando sólo eran
Apenas bonitas
Una lluvia dorada
De la parra caía
Y el aire seguía
Sin mover una brizna
En los árboles verdes
Las cigarras cantaban,
Como el marino
Allá en el puerto,
La misma canción
De notas calmadas
Formando un refrán
Que cargaba las velas
Con más y más fuerza.
(Traduction MAH y COLO)
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii.......
RépondreSupprimerVotre blog, oiseau migrateur a pris un superbe envol.
je voulais te remercier pour ce beau poeme et cette belle attention. besos
RépondreSupprimerBravo pour ce nouvel envol !
RépondreSupprimerJP
Que dans ce nouveau cercle de conversation, les mots tombent en pluie lumineuse et les rires en cascade "con más y más fuerza".
RépondreSupprimerBel envol poétique comme première note !
Oh, déjà 4 mots doux!
RépondreSupprimer@JEA, c'est vous qui m'avez donné des ailes, merci
@Nadine, je t'ai reconnue!! tu n'as pas d'accents sur ton very English clavier...Je t'embrasse; bon pied, bon oeil.
@JP, Merci, je rougis.
@Tania, il n'était pas dit que nous ne ferions plus de cabrioles.... Un beso.
Voilà les oliviers, les cigales et le soleil ! Voici les espaces pleins de lumière et les instants fleuris... c'est parti les kikis, BRAVOOOO !!!
RépondreSupprimeret bien ... je te suivrai ici alors, avec plaisir : pour partager avec toi tes délicates découvertes. bises
RépondreSupprimer@MH,je vous enverrai un kilo de "tout ça" chaque semaine, promis!!! Merci pour tant d'enthousiasme!
RépondreSupprimer@Carole, je suis tes pensées avec plaisir aussi. Un beso.
bon vent ! pour ce blog tout beau tout neuf
RépondreSupprimer@Charivarii, ça souffle!:)) Merci!
RépondreSupprimertrès heureuse de vous retrouver...et de vous suivre...à tire d'aile!
RépondreSupprimerUne reprise sous le signe de l'olivier, du soleil, de la poésie Rien que des gages d'instants éclatants à passer ici
RépondreSupprimerLe poème de reverdy me fait penser au poète Elytis qui parlait ainsi de son pays
" Décomposez la Grèce et vous verrez qu'il ne restera pour finir qu'un olivier, une vigne et un bateau "
merci et elle chouette ta nouvelle adresse sous les oliviers ou les amandiers.
RépondreSupprimer@Sable du temps; Merci, ça me fait grand plaisir à moi aussi. Volons donc.
RépondreSupprimer@Dominique, nous avons déjà le marin, le bateau suivra peut-être...
@Alex, merci, il y a encore de améliorations à apporter, je découvre des possibilités mais mon incompétence est..., est! Voilà. Patience donc.
Moi, ça me fait un peu triste de voir colo qui disparait de mon Courrier. Mais les circonstances font que je comprends. Alors, bienvenue dans le blogspot! Et puis de toutes manières, colo est colo: la première de mes gentilles fidèles.
RépondreSupprimerEt c'est Reverdy que tu choisis pour démarrer ton blog chez nous! Je n'ai même pas lu ta traduction, pas ce soir, je savoure simplement le fait de t'accueillir au soleil chez un hôte prévenant accompagnée de ce poète que j'ai tellement aimé. Bienvenue dans cette nouvelle aventure Colo, une de plus; je comprends la mélancolie de Damian, inévitable: partir, c'est mourir un peu, mais c'est renaître autrement... Un beso de Belgica y especialmente de Chenapan!
RépondreSupprimer@Damien, ce n'est pas de gaité de coeur que j'ai quitté le C.I., tu le sais, je m'y sentais très bien, mais...Merci pour tout et bonne chance à ton blog, je te suivrai de près!
RépondreSupprimer@Delphine, ah, tu aimes (as aimé???) aussi Reverdy, chouette! Merci pour le baiser, ensoleillé me dit la radio ce matin, cajole Chenapan de ma part.
Oh que c'est beau, beau et beau... L'air ne faisait pas un pli... c'est trop bien dit!
RépondreSupprimerJe prends note de ta nouvelle adresse!
Histoire familiale que la migration…. Et puis je m’insurge, j’éructe et suis triste, j’ai beau regarder sous moi, je n’ai ni femme au tablier, ni au panier, ni une troisième qui ne met la main à la pâte (La feignasse ! ). Bon Blog Et Bises
RépondreSupprimer@Edmée, c'est vraiment ça ici au mois d'août, pas un pli d'air. A bientôt!
RépondreSupprimer@Mais, mais, ne sois pas triste hermano, c'est pour toi que j'ai pris cette photo (t'as fait "clic" dessus?), j'ai même mis une échelle pour accéder à ta cime... Tes trois soeurs apparaîtront, ¡espera tranquilamente! Besos.
Reverdy et moi c'est une histoire qui a duré deux ans et qui dure encore mais nos rendez-vous ne sont plus quotidiens...
RépondreSupprimer