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1 août 2014

Portraits / Retratos




 J. Sorolla autorretrato 1904

 Autoportrait 1912


Ce visage ne vous est sans doute pas familier, ce n'est pourtant pas faute de portraits ni, surtout d'autoportraits du peintre valencien Joaquín Sorolla Bastida, (1883) ; nous allons parler de lui et découvrir ses œuvres si cela vous intéresse. Dans le prochain billet je vous présenterai en parallèle sa vie et son œuvre, ses évolutions mais aujourd'hui, et parce qu'elle a été un des thèmes les plus importants de sa peinture, voici sa famille.

Tal vez esta cara nos os es familiar, pero no es por falta de retratos ni sobre todo de autorretratos del pintor valenciano Joaquín Sorolla Bastida, (1883) ; vamos a hablar de él y descubrir sus obras si os interesa. En la próxima nota os presentaré en paralelo su vida y sus obras, su evolución, pero hoy, y porque fue uno de los temas principales de su pintura, aquí está su familia.

Commençons par sa femme, Clotilde, qu'il a peinte tant et tant de fois /Empezemos con su mujer, Clotilde, que pintó tantas veces.



1894






Clotilde en la playa 1904              


 
 
Madre e hijo 1904

                                       
Mi mujer y mis hijos 1897/1898 (ma femme et mes enfants)






Mi familia 1901


Ce peintre a son musée à Madrid, visitez-le ici: http://museosorolla.mcu.es/, visite virtuelle ici: http://museosorolla.mcu.es/visita_virtual/visita_virtual.html

Ese pintor tiene su museo en Madrid, visitadlo aquí: http://museosorolla.mcu.es/, visita virtual aquí: http://museosorolla.mcu.es/visita_virtual/visita_virtual.html

 Pus de portraits de Clotilde / Mas retratos de Clotilde,

47 commentaires:

  1. Je ne connaissais pas ce peintre et pourtant je reconnais certaines toiles pour les avoir vues sur d'autres blogs ;-)
    apparemment, il a réussi à vivre de son art...
    la suite m'intéresse, alors à demain?

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    1. Oh oui, ses débuts furent faits de concessions, tu verras, mais une fois lancé dans les tableaux "lumineux", le succès est vite arrivé.
      Demain, celui de mañana? un peu vite ça dame Adrienne, dans quelques jours.
      Bon week-end.

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  2. Belle entrée en matière, ces portraits de famille ! Tu me donnes envie de replonger dans le catalogue "Sargent / Sorolla" : c'est à Paris, au Petit Palais, que j'ai vu pour la première fois des toiles de ce peintre, en 2007. Que de beaux portraits amoureux de Clotilde (merci pour le lien) et quelle concentration dans ces autoportraits. Bonne soirée, dame Colo.

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    1. Bonjour Tania, Sorolla a rencontré Sargent à Rome, ils se sont bien entendus, se sont probablement influencés mutuellement.
      Excellent week-end la belle, un beso.

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  3. Je ne le connaissais pas.
    Merci de me faire découvrir.

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    1. Avec plaisir Eve. C'est toujours étonnant, et on n'arrête pas de le commenter ici, de constater, tristement, que l'art traverse mal les frontières...ici Sorolla a une rue, un musée, est un des tout grands peintres de l'époque impressionniste.
      Alors donc je suis contente de te le faire connaître!
      Un beso!

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  4. Bonsoir Colo, j'apprécie beaucoup ton billet avec le peintre Joaquín Sorolla Bastida. C'est une magnifique découverte et je te remercie pour les liens. Ce sont des toiles très douces.
    Je te souhaite un très bon week-end.
    Bisous

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    1. Bonjour Denise, que je suis contente que sa peinture te plaise...voyons la suite alors!
      Un excellent week-end pour toi aussi, un beso.

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  5. Je ne connais pas ce peintre, je ne pense pas avoir déjà vu ses toiles ici ou là. Quelle élégance chez ces femmes .. A bientôt pour la suite. Bises.

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    1. Alors je suis contente de te le faire découvrir AIfelle.
      Bonne journée, tranquille. Besos.

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  6. j'aime beaucoup Clotilde et son ombrelle qui a de faux airs de Monet
    je vais partir visiter le musée, super pratique de le faire dès ce matin sans se soucier des horaires

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    1. Tu verras dans le prochain billet comment et combien il a été influencé après 1900 par les impressionnistes.
      Jolie visite? Moi j'ai bien aimé et si je me rends à Madrid je ne manquerai pas d'y aller!

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  7. Je ne le connaissais pas, mais la façon tendre et réaliste dont il peint sa Clotilde parle de loyauté et d'un certain bonheur familial. Il la trouvait belle, personnelle, et un peu surprenante... un homme intéressant puisqu'ayant un regard intéressé aussi...

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    1. Oh, tu as raison, sa Clotilde était tout pour lui et il prétendait que c'était grâce à elle qu'il avait pu peindre...la suite la semaine prochaine!

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  8. Emouvant cet album de famille en tableaux ! Elle était belle Clotilde ! Je suis allée voir ses autres portraits, il devait en être très amoureux pour la représenter de si nombreuses fois. Edmée parle de "bonheur familial", je le ressens aussi comme cela. Merci pour cette belle découverte, Colo !!!

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    1. Bonjour Fifi, une sorte de vénération pour sa femme, ses enfants. C'est ce qui m'a frappée en étudiant de plus près l'ensemble de son oeuvre.
      Suite la semaine prochaine, bonne journée!

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  9. Oh ben dit ! Je vais me réserver du temps pour y aller si mes pieds et jambes veulent bien m'y porter. Parce que le métro, à Madrid... Mais j'ai vu de ses tableaux à la Fondation Thyssen, cet après midi et je croyais être face à des oeuvres de Sargent.
    Par ailleurs j'ai vu des tableaux selon le mouvement de l'Orphisme et bien sûr j'ai pensé à toi et à ton billet !

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    1. Lou, j'espérais sans y croire que tu verrais ce billet à temps! Super! Pourvu que tes gambettes....ou un taxi? La dernière fois que je suis allée à Madrid ils n'étaient pas très chers.
      Ah, tu es allée à la Fondation Thyssen, muy bien, j'espère que tu as aimé ce musée à taille humaine qui réunit tant de chef-d’œuvre!
      Merci pour ces nouvelles fraîches de Madrid...Un beso fuerte.

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  10. Fraîcheur à Madrid ? !... ;) j'ai vu,toujours au Prado, une salle où étaient exposés, en vis-à-vis, une galerie de portraits photographiques, en noir et blanc, d'hommes contemporains ( en majorité décédés - et ça fait bizarre) et une série de tableaux (auto-portraits, la plupart) d'hommes trés austères (le sourire n'était pas de mise !).

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    1. Haha, tu as raison, le terme fresco ne convient ni à Madrid, ni ici en ce moment!!
      Curieuse en effet cette expo-photos...Justement c'est un photographe, un des premiers de l'époque, Antonio García, qui a permis a Sorolla d'exister, tu le liras dans quelques jours ici.
      Bon séjour ma belle, je t'embrasse.

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  11. De bien beaux portraits. Pourquoi chercher ailleurs l'inspiration qui se trouve à porter de main ?
    Je constate pourtant que dans le portrait de Mi mujer y mis hijos 1897/1898, la femme est à peine reconnaissable tant son visage est estompé...cela ne semble pas correspondre au style habituel du peintre fait de clarté et de lumière ...

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    1. Bonjour Savarati, je me suis même demandé si le tableau était achevé! Ce flou dans le visage de sa femme est tout à fait étrange, tu as raison.
      Par contre le dernier est d'une grande précision de trait...il me fait penser à Velázquez.
      Bonne semaine.

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  12. J'aime ces portraits de famille tout en douceur, particulièrement le flou de "Madre e hijo" qui laisse une grande place à la suggestion.

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    1. Comme un tendre flou, je l'avais perçu ainsi moi aussi.
      UN beso.

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  13. Une vraie découverte,prometteuse pour la suite. J'aime beaucoup la série d'autoportraits et tout autant la tendresse exprimée envers sa famille. Je suis curieux de la suite.

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    1. Je travaille beaucoup à la suite Serge, dans un jour ou deux elle sera prête!
      Bien contente que sa peinture te plaise!

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  14. J'aime beaucoup le dernier il est peut-être plus conventionnel que les autres : la famille au complet pose devant le peintre (que l'on voit dans le miroir). les deux ainés sont en retraits, le garçon est lui aussi en train de dessiner sa petite sœur, qui elle est en plein lumière, au centre du tableau : le modèle principale. Il y a beaucoup de mouvement dans sa peinture, même dans cette composition qui aurait pu être statique. et on ressent ce qui "circule" entre les personnes, ces relations impalpables qui tissent les liens au quotidien.
    Merci pour la découverte.

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    1. Bonjour Carole, merci pour cette brillante analyse du tableau! Moi je l'avais mis en parallèle avec "Les Ménines" de Velázquez, c'est un peu la même composition de groupe, le peintre à la fenêtre arrière...après, en lisant tout ce que je pouvais sur Sorolla, j'ai trouvé ce site....http://modernismo98y14.com/curiosidades-sorolla.html

      le prochain billet commencera par son explication, ok?
      Bonne journée, un beso.

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    2. yess... merci, j'attends la suite, tu me la tiens au chaud ? (car je vais bientôt débrancher les ordis) j'aimerais lire, mais j'ai juste regardé les images : c'est passionnant la comparaison entre la photo et la peinture...
      à bientôt pour la suite du feuilleton. :)

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    3. Au tout chaud je te garde ça! Tu auras la traduction, enfin, je raconterai la suite...du feuilleton.
      Une biographie peut être barbante ou vivante, tu verras!;-))
      Bonnes vacances, un beso.

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  15. Si tout va bien... Sorolla est au programme du jour !

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    1. Hola Lou, alors j'espère vraiment que tout ira pour le mieux et que tu raconteras!!!!
      Bonne journée, je t'embrasse

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  16. Bonjour Colo, cette série de peinture me renseigne admirablement sur l'utilisation du blanc (que j'utilise beaucoup en ce moment). Belle journée sur ton île!

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    1. Justement vois-tu, de tant de chaleur sur mon île le ciel n'est pas bleu, il est blanchâtre!!!
      Sorolla manie extrêmement bien cette (non)couleur, tu le verras dans le prochain billet aussi.
      Bonne semaine à toi.

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  17. Colo.... C'était S U B L I M E !

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    1. J'en suis ravie Lou, un peu envieuse aussi, hihihi!
      Bonne soirée, un beso

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  18. La visite virtuelle du musée m'a beaucoup délassé. Le rouge de la tapisserie murale enflamme. Coup de cœur pour la salle II (les tons des toiles de plage) et pour le salon, lieu de passage avec la baie en arc. Quelle demeure ! Et le jardin...

    Je me réjouis de lire la suite des informations sur Sorolla : il peint les siens comme on surprend des gestes familiaux avec l'objectif photo. Fixer le geste avec amour...

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    1. Je vois que vous avez pris votre temps et du plaisir, tant mieux! On prendrait bien un café dans ce superbe jardin, c'est vrai...je me demande si Lou, qui est à Madrid et y est allée hier, l'a fait...

      Vous ne croyez pas si bien dire en parlant de photo/peinture....bravo, vous le lirez sous peu ici!

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  19. Je ne connaissais pas ce peintre. Merci pour cette découverte. Je connais très mal la peinture espagnole.
    Très bonne journée et à bientôt pour la suite du reportage !

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    1. Bonjour Bonheur, ce n'est pas vous qui connaissez mal la peinture espagnole, c'est la peinture qui voyage peu; c'est si étrange de se trouver si près et de si peu se connaître....l'art passe moins bien les frontières que les produits commerciaux!
      Bonne journée à vous aussi, à l'ombre!

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  20. magnifique.
    Je suis toujours enthousiasmée par le traitement dans ce courant de peinture, des "blancs" comme dans le tableau"Clotilde en la playa" ainsi que dans "madre y hijo".
    J'aime beaucoup son second auto-portrait et "Clotilde en la playa" m'enchante à tous points de vue....pas seulement pour l'ombrelle!!!!!!!!!
    Merci pour cette belle découverte.
    Bonne journée pour toi, à l'ombre. ici le temps gribouille, mouille et il fait cependant lourd.
    Algunos besos.

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    1. Bonjour Maïté, au plus j’étudie ce peintre (tu verras qu'aujourd'hui j'ai publié la suite) au plus je lui trouve des qualités de tout genre...dont le traitement des couleurs, de la lumière, ses portraits et scènes de la vie sont superbes aussi.
      Oh, oui, super ombre depuis 12h...jusqu'à 19h.
      Muchos besos guapa

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  21. Le tableau "madre y hijo" est immense. Et lorsqu'on se plonge dans cette scène, l'effet ouaté de la couette nous aspire, et procure un bien-être palpable, hypnotique. Ce tableau est immense

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  22. Belle surprise, cet après-midi, au Musée Goya de Castres, dont j'ai visité l'exposition temporaire sur Dali, un tableau de Joaquín Sorolla y Bastida : Portrait de Monsieur Seligman ! Le monde est vraiment petit... ;)

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  23. Quelle coïncidence, c'est un magnifique portrait, aucun doute!

    Quant à madre e hijo, j'aimerais tant le voir "pour de vrai"! merci Lou, je t'embrasse.

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