Interrogations hautement philophiques d'un dimanche matin...
Interrogaciones altamente filosóficas de un domingo por la mañana...
photo Colo
Qui fut le premier?
¿Quién fue primero?
"Voilà ce chêne solitaire
Dont le rocher s'est couronné,
Parlez à ce tronc séculaire,
Demandez comment il est né."
Dont le rocher s'est couronné,
Parlez à ce tronc séculaire,
Demandez comment il est né."
Lamartine
Merci Enitram!
photo Colo
Je passe souvent devant cette maisonnette et surveille de près le toit et le cactus.
Que va-t-il arriver?
A menudo paso delante de esta caseta. Vigilo de cerca el techo y el cactus.
¿Qué pasará?
épineuse question !!!
RépondreSupprimerBon dimanche ... sans épines.
Je t'embrasse.
Tu vois que mon dimanche matin est rempli d'interrogations hautement philosophiques!
SupprimerExcellente journée Sable, un beso.
Vous avez l'art de toujours "dénicher" des choses étranges Colo.
RépondreSupprimerAuriez-vous pris en photo la patte crochue d'un spécimen de dinosaure s'accrochant à son rocher?
Dutronc chantait "dans la vie il y a des cactus" . Heureusement que celui-ci est là pour soutenir le toit de cette maisonnette.
Je m'amuse beaucoup en ce moment avec les prévisions d'Orange qui nous indique pour la période à venir certains jours "pluies" et d'autres "averses" !
Peut-être seront-elles entrecoupées de pluie?? Ici ce n'est pas rare :)
Vous remarquerez la subtilité de la prévision.
Très bon Dimanche Colo ...Attention aux cactus de la vie.
Ah donc, serais-je entourée de choses étranges ou est-ce mon regard qui les crée?
SupprimerEn fait ce n'est pas un rocher mais un mur en pierre qui longe une route étroite et très sinueuse. Racines et pierres s'épaulent si j'ose dire.
Tiens, des "pluies averseuses", un néologisme intéressant!
Bonne journée Gérard, n'oubliez pas vos bottes pour sauter dans les flaques.
question 1: le rocher/la peña ;-)
RépondreSupprimerquestion 2: continuer à pousser à l'horizontale (comme un laiteron que j'ai photographié entre les rails du train et qui faisait pousser sa tige florale à l'horizontale, pour qu'elle ne soit pas étêtée :-)
Bonjour Adrienne.
SupprimerMerci pour ces réponses! Comme je l’écrivais à Gérard, ce n'est pas seulement un rocher, mais aussi un mur. Je me demandais si le mur-rocher avait été construit autour de l'arbre ou l'inverse:-))
Oh, un laiteron couché...l'intelligence de la nature.
Bonne journée.
Mystère ! seul l'avenir le dira, mais gageons que la nature trouvera la solution, elle est toujours la plus forte. On dirait que nous sommes au diapason côté pluie (pour une fois).
RépondreSupprimerRendez-vous dans un an avec un début de réponse alors...
SupprimerOui, des pluies très bienvenues ici...moins chez toi j'imagine!
Bonne fin de journée Aifelle.
Difficile d'anticiper. On peut néanmoins espérer que ce cierge aie la souplesse et l'élégance de se cambrer vers la lumière. Par ailleurs, j'ai lu qu'on pouvait les couper à la hauteur souhaitée, attendre qu'ils cicatrisent et au bout d'environ deux semaines planter la partie haute avec éventuellement un tuteur. Si tu vois les proprios ... Bon après-midi Colo, même s'il ne fait pas chaud, pas chaud.
RépondreSupprimerMerci Lily, oui, j'espère qu'il ne va pas faire "sauter" son toit bien fragile!
SupprimerSi je le vois je lui ferai part de ta suggestion.
Non, pas très chaud, surtout très humide ici...une île.
Belle fin de journée.
RépondreSupprimer"Voilà ce chêne solitaire
Dont le rocher s'est couronné,
Parlez à ce tronc séculaire,
Demandez comment il est né."
Lamartine s'est déjà posé la question...
Bon dimanche !
Superbe, merci! Je remonte ces vers en haut, dans le billet.
SupprimerBelle fin de journée.
je pari sur le cactus la nature est plus forte que l'homme !!
RépondreSupprimerAdios le toit alors?
SupprimerJe note ton pari! Merci.
Le cactus aura raison du toit, c'est sûr… Je trouve tout cela est un hymne à la nature… Elle progresse selon sa volonté et c'est beau. Gageons que cela dure au delà de la vie des hommes !
RépondreSupprimer¡Ojalá duré, sí señor!
SupprimerTout à fait, un hymne à sa force et à son obstination.
La nature ici n'est ni lisse ni apprivoisée, je l'aime ainsi.
Quant au toit, on s'en occupera...
Belle soirée Obni.
Il y a parfois des éléments extérieurs qui viennent tirer leur conclusion: le gel par exemple qui remet le cactus à zéro: c'est ce qui s'est passé chez moi: le plafond de la mini serre n'a pas eu à être contourné et les cactées sont reparties du pied: éternel recommencement!
RépondreSupprimerBonjour Maïté, il ne gèle pratiquement jamais ici mais cette année il a neigé comme jamais. Hibiscus, bougainvilliers, cactus ont noirci, n'ont pas repris au printemps, mais, et du pied comme tu dis, ont reverdi lentement en été.
SupprimerCelui-ci peut décider de partir sur le côté ou...on verra.
Bonne semaine.
Très intéressant ! Depuis le commencement des temps, les civilisations se sont superposées, prenant exemple sur la nature. Aller plus haut, toujours plus haut !
RépondreSupprimerTant que la nature inspire et soutient l'homme, tout ira bien Danièle.
SupprimerSuperposons nos idées, nos esprits se retrouveront dans les hauteurs!
Excellente semaine.
Rires, tu te poses de sacrées questions existentielles ! j'aime ! Tes yeux remarquent l'entraide des plantes et comment la nature soutient bien les choses ... La nature prend toujours la place, elle sait y faire la lianesse !!!
RépondreSupprimerPensées jardinées du soir, chère Colo !
http://laphotodaimehaut.blogspot.com
La philosophie peut être fort gaie Véronique, et l'autodérision nécessaire aussi!
SupprimerTiens, tu as un nouveau blog-photos? Je pars y faire un saut, merci!
les chênes sont incroyablement attachés à leurs racines, même à Liège, entre des galeries de mines abandonnées, des cieux de sidérurgie agonisante et un fleuve dépotoir...
RépondreSupprimerHélas.
SupprimerLes racines des peuples s’accommodent mal de celles, pourries, de l'économie ambiante.
Liège, ville où je me suis toujours sentie si bien reçue par des habitants rieurs va-t-elle perdre de sa chaleur?
Le souci avec le pilier végétal, c'est qu'il n'a pas fini de pousser. Prendre un rocher de la 1ère photo et le mettre sur le toit?
RépondreSupprimerOn pourrait.
SupprimerSinon inventer des cactus télescopiques:-))
Cela me fait penser à une maison devant laquelle chaque fois que je passais je surveillais la glycine qui un jour a plus qu'endommagé le toit
RépondreSupprimerBonne journée
Le vivre ensemble n'est pas toujours évident, en effet.
SupprimerBelle journée à toi aussi.
Le cactus va s'adapter! Les végétaux sont plus conciliants que les humains ;) il va pousser tordu... :)
RépondreSupprimerSympa ici ;)
C'est bien ce que j'espère, le voir contourner l'obstacle!
SupprimerBienvenue Julie, reviens quand tu veux!
Écouter comme un arbre vaut mieux que tout.
RépondreSupprimer(Jean Chalon)
Bonne journée !
Souvent je m'assieds sous l'olivier millénaire qui se trouve à côté de la maison. S'il a encore des feuilles, il ne donne plus que de minuscules olivettes qui font la joie des oiseaux.
SupprimerMusique des feuilles, craquements...
Merci Christw, belle journée à vous aussi.
Je ne peux pas m'empêcher de repenser à l'époustouflante description des oliviers de Majorque par George Sand (dans "Un Hiver à Majorque", bien sûr) en voyant le chêne de la première photo.
RépondreSupprimerQuant au toit et au cactus, maintenant moi aussi j'ai envie de les surveiller :) Tu nous tiens au courant ?
Bien sûr, je vous ferai des rapports de temps en temps. Les cactus poussent lentement mais on n'est pas pressés!
SupprimerExcellent weekend.
Cet arbre est impressionnant par son "ancrage"... pendant que dans le coin, vogue le voilier ;-)
RépondreSupprimerEncore une bien jolie trace, ce billet !
Bonjour MH, une autre spécialité ici, je mettrai des photos un de ces jours, ce sont des trottoirs pour arbre, tu verras!
SupprimerVogue dans la tempête aujourd'hui...
Beau dimanche et merci!
Que manera tienen los arboles de anclarse donde lo han decidido, y de ahi no hay quien lo quite, pase lo que pase... pero el cactus, creo que sera el, el que tendra que ceder e inclinarse bajo el techo...
RépondreSupprimerDe acuerdo contigo para el cactus, en cuanto a las raíces, me fascinan, siempre.
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