Le Fanal bleu S. Gabrielle Colette
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“En lugar de abordar las islas, bogo hacia ese mar abierto donde sólo llega el ruido solitario del corazón, semejante al de la resaca. Nada se marchita; soy yo quien se aleja, tranquilicémonos. El mar abierto, no el desierto.”
El fanal azul S. Gabrielle Colette
El fanal azul S. Gabrielle Colette
Photo prise dimanche en face de Cala Gamba à 11h. / Foto tomada el domingo en frente de Cala Gamba
Ah Ah c'est pour me donner des regrets, dans les oeuvres de Colette il y en a que j'ai lu et relu et d'autres jamais, celui là en fait partie une erreur à réparer
RépondreSupprimerJe vois que tu t'es mis aux couleurs d'Armando :-)
Merci Colo. Est-ce que tu recommandes "Le fanal bleu" ? Quelqu'un m'a demandé si je connaissais ses œuvres, j'ai dû dire non. J'ai échoué dans mon rôle d'ambassadeur culturel ! Est-ce que tu as une suggestion pour moi ?
RépondreSupprimerUn bain dans le bleu, d'un clic, extra ! "Le fanal bleu" me laisse le souvenir de réflexions très sereines, comme celle, très belle, que tu as choisie.
RépondreSupprimer-Dominique, oh, mais je l'ai fait exprès pour que tu le lises!
RépondreSupprimerCouleur Armando, mais oui!
-Ren, Ce que dit Tania du Fanal Bleu est exact, c'est une très belle oeuvre de maturité. Pour commencer, et voir si ça te plaît, je te conseillerais peut-être "La naissance du jour" et/ou "La chatte". Bonne lecture!
- Tania, joyeux bain amie! Un peu de sel dans le nez?
Est-ce que j'ai lu "le fanal bleu" ? Je ne me rappelle pas ce livre. Merci colo. Maintenant, je sais ce que je vais lire en Bretagne en septembre au bord de la mer.
RépondreSupprimer-Euterpe, en Bretagne? Autre lumière, autres bleus-gris-blancs...tu me donnes des envie de fraîcheur! Bel endroit pour lire!
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup la phrase: "Le large, mais non le désert". Le large est tellement peuplé, notamment de souvenirs et de pensées esquissées à haute voix et qui s'envolent. J'adore "prendre" le large, c'est sûr.
RépondreSupprimerNous avons tous besoin d'espace, un instant!
RépondreSupprimerTu comprends mieux la nécessité de traverser la baie de Saint Jean de Luz à la nage ou de crapahuter à travers les Pyrénées.De l'espace, juste un instant. Le temps d'être propriétaire temporaire et éphémère, humblement d'un fragment du temps.
P.S:Il y avait Colette hier soir sur France Inter.
-Damien, le large serait peuplé de souvenirs envolés, jolie pensée.
RépondreSupprimer-Alex, je comprends fort bien oui.
Que tout cela est bien dit! Je garde ta formule "de l'espace, juste un instant"
PPS: j'ai également écouté l'émission...heureuse coïncidence.
Bel extrait et photo qui donne très envie...
RépondreSupprimerUn instant je me suis perdue dans l'immensité de ce bleu- et j'ai aussi écouté la chanteuse, Gloria, c'était un joli rêve ...
RépondreSupprimerMerci
Marcelle
-Rêvons Marcelle, chacune sur le blog de l'autre en écoutant Gloria ou une autre, mais cette soprano....Bonne semaine.
RépondreSupprimerL'appel du grand large...huMMM
RépondreSupprimer- K, larguons-nous...HUmmmm
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